Akyo Matahari
Aqua - Kingdom Hearts

Si tu sais me battre, je saurai te battre. Devenons rivaux !




Bourrine
Fan de thé
Sang Chaud
Agit avant de réfléchir
Fidèle
Obsessive

Nom :Matahari
Prénom :Akyo
Surnom / Alias :La barbare, seconde en herbe, sensei
Origine :Danoise
Race :Batarde de troisième rang
Âge d'apparence :27 ans
Âge réel :121 ans
Occupation :Maîtresse d'arts martiaux
Groupe :Civils



Caractère


Si on devrait parler de caractère, c'est une personne souvent qui combat pour les choses qui lui semble justes. C'est une passionnée par les arts martiaux. Si bien que si elle appris certaines langues, c'était pour mieux communiquer avec les maîtres de ces disciplines. Si elle est intelligente? Pas vraiment, mais elle n'est pas totalement conne. C'est qu'elle préfère l'action à la réflexion, c'est tout. Elle se laisse emporter par toutes ses passions sans vraiment s'en rendre compte. Elle parle beaucoup dans ces cas, puis elle se tousse en s'excusant. La douceur c'est qu'en option. Ne lui demander pas de vous ménager, elle ne le fera pas. Elle n'est pas comme ça. Elle fera les choses à fond. Si on ne fait pas les choses à fond est-ce que ça vaut vraiment la peine ? Elle ne comprends pas beaucoup la demi-mesure. Elle est consciente que les gens ont des limites. Dans ces cas, elle les convie dans un coin de son dojo pour se reposer. elle n'est pas un monstre. Elle attendra votre plein potentiel pour vous affronter. Secouera les plus paresseux pour les faire bouger. Quand elle aime, ce n'est jamais à moitié, en témoigne sûrement les personnes qui l'on fréquenté d'un peu trop près. Une Yandere? Non, enfin, un peu. Soit tu es son amoureuse, soit tu ne l'es pas. Pas de demi-mesure. Si elle aime plusieurs personnes? Alors là, il y a un bug dans la matrice. Et elle prendra pas la bonne pilule. Elle suivra jusqu'au bout du monde la personne pour laquelle elle fond. Où elle se sent en sécurité. Pour une femme comme elle se sent rarement en sécurité avec d'autres. ces personnes rares, elle suivra au bout de sa vie de bâtarde. Ou de leur vie humaine.
Pour ce qui est de ses colères, elles sont faciles à provoquer. Un mot, un geste, une simple respiration, ces choses peuvent l’énerver. ne penser pas la toucher sans être un disciple ou la personne qu'elle admire ou qu'elle aime. C'est mort de chez mort.
Pour le thé ? Ah ça, c'est venu d'une rencontre, celle d'une personne qui a su être là pour elle. Pour l'aider. Depuis, elle aime cette boisson.






Niveaux de ton perso selon toi













Histoire


Des lettres, comme si c'était intéressant. Je parle avec mes poings


Maman a écrit:Ma fille, je sais que toi et moi, c’est compliqué. Mais laisse-moi le privilège de raconter ton histoire. Ou du moins, celle que j’ai vécu avec toi. J’espère que d’autres prendront le relais. Que tu auras toujours quelqu’un à tes côtés. Tu fais l’insensible, la grosse brute. Moi, je sais à quel point ça été dur pour toi. De prouver ta valeur, même si les pays du Nord sont parfois un peu plus ouverts. Tu as lutté. Je me souviens de ton père, un bel homme, je ne savais pas ce qu’il était, c’est quand ta crise est arrivée que j’ai compris que ce monde était différent. J’aurais voulu faire plus. Je n’ai pas pu. J’ai dû accepter ce qui t’arrivait. Mais je t’ai aimé. Ta première dent, ton premier pas. Je me souviens aussi de ton premier jour à l’école. Comme tu t’accrochais à moi à cette époque. Je t’ai couvert de mon amour. Je t’ai donné autant que je pouvais. Tant que tu ne devenais pas une enfant capricieuse. J’ai fait vraiment tout. J’ai veillé sur toi quand tu étais malade. Raconter des histoires. Je t’aime, c’est un fait que tu as oublié. Je crie sur ta copine parce que je sais ce qu’elle est. Je sais qu’elle te mènera sur ce chemin dont je ne veux pas entendre parler. J’ai peine la cinquantaine, pourtant, je sais que ma fin est proche. Le cancer me mange petit à petit. Et je voulais simplement te laisser une lettre pour te dire à quel point je suis fière que tu sois ma fille. Que tu sois devenue une grande combattante pour la liberté. Liberté de ton être. Je me souviens de ta crise. Celle qui avait manqué de te prendre pour toujours. J’ai eu si peur. Quitte cette fille, elle ne va que te mener vers des mauvaises choses. Je le sens. Une mère sent ces choses. Tout simplement. Si tu déchires cette lettre, tu sauras qu’elle contient mon testament. Je te donne tout. Tout, même ce chat qui m’a accompagné. Prends en soin. Je n’ai que faire de ce que tu feras de cet argent. Fonde ton propre endroit si tu le souhaites. Voyage. Combat, continue ton chemin vers un mieux pour toi. Tu es forte. Je t’aime, ta petite Maman. Quitte juste cette fille.

Mme Hjorth a écrit:Ta mère doit se retourner dans sa tombe. Tu n’as jamais quitté cette femme. Tant qu’elle voulait de toi, tu es resté à ses côtés. C’est en la voyant avec cet homme que tu as fini par vriller. Parce que ça été toi, ça aurait dû être toi. Je pouvais te voir, voir cette enfant que tu étais autrefois tant changer. Elle était loin l’élève que j’avais trouvé adorable. Toujours paré à jouer et à faire rire ses petits camarades. Ta peur avait laissé au plaisir de voir tes amis. Tu en avais quelques-uns. Je me souviens de tes repas. Ceux que tu partageais sans une once d’hésitation. Quand tu as quitté mon école pour faire ton chemin dans ta vie d’adolescente. J’ai gardé un œil sur toi. De façon discrète. Adolescente typique, mais un poil violente. Tu tapais toujours autant les garçons. Ce que je prenais pour de l’amour n’était que de la haine. Tu n’aimeras donc jamais les hommes parce que ton père a abandonné ta maman ? Je ne saurai jamais. Tu n’as jamais voulu voir quelqu’un. Et même si c’était le cas, il était tenu au secret. Moi-même en tant qu’enseignante, je devais garder des choses pour moi. Nombres de tes camarades m’ont confié des choses. Pas toi. À croire que tu n’avais aucun secret pour ta mère. Pourtant, quand je la vois mourir alors que toi, tu tiens la main d’une dame. Et ton regard ne me trompe pas. Mon mari a le même quand il me voit. Je voulais juste reprendre un peu le relais. Pour te dire bon voyage. Je sais que tu as prévu de partir en Asie pour perfectionner ton art de te battre. S’il fallait prendre plusieurs trains ou un bateau, tu le ferais. Tu l’as fait. Je ne sais pas ce que tu es devenu après. Mais plus jamais on avait entendu parler de celle qui te tenait la main. Bon voyage, faites que tu sois innocente dans cette histoire. Je leur dit que tu étais si gentille. Mes souvenirs de toi enfant me trompent-ils ?

Daisuke Komamura a écrit:Te voir faire les tours des dojos en quête d’une personne plus forte avait ce côté amusant. Je suis né sur ces terres. Pourtant, je te trouve amusante. Certains diront que j’étais un autre chasseur d’étranger. Mais je n’ai jamais été ça. Je ne serai jamais ça. J’ai fait ce chemin pour rentrer au pays. Ma mère m’inquiétait beaucoup. Même si tu as été froide avec moi. Tu m’a à peine adressé la parole. Alors que j’aurai tout fait pour un simple geste. Je me suis même mis à combattre pour t’affronter. Toi, si jeune. Toi si pleine de vie. Si prompte à apprendre. Toi qui combattais une belle tigresse. Je ne sais pas quel était ton secret. Mais tu as resté belle, si bien qu’après cinq années à te voir tous les jours. À espérer être au niveau pour t’atteindre. Tu es partie. J’ai continué à me battre. Je suppose que toi aussi. J’espère un jour, je pourrai te revoir. Rien qu’une fois avant que vienne mon trépas. Nous les Asiatiques, nous vivons longtemps, mais toi aussi. Akyo-san… Viens te battre, je te jure que je serai un adversaire digne de toi.

Bailu a écrit:Une bâtarde, c’est ce que tu es. Je suis une démone. Non, je ne suis pas ta mère. Ni même ta tante. Mais je comprends ta rage. Je sais à quel point certaines choses peuvent être douloureuse. Mais je sais aussi à quel point tu es parti d’endroit à endroit, voyageant non seulement au Japon, mais aussi en Corée et en Thaïlande. Bien, il y a eu des moments où tu as voulu prendre les armes contre les Allemands. Pour protéger ton ancienne patrie. Mais ta mère n’est plus de ce monde depuis longtemps. Tes amis sont soit vieux, soit morts. Ils t’ont oublié. Puis, je dois t’avouer que les démons aiment bien ce genre de conflits. Toi aussi. Tu vis pour te battre. Tu es tellement forte qu’on ne dirait pas que tu es bâtarde de troisième rang. Tu as fait de ta particularité, ta force. Tu te bats avec un bâton comme personne. Tu t’es approché d’une démone, une sacré démone. À tes yeux, elle était belle et puissante. Pour moi, c’était une jeune pleine d’ambition. Les ambitions, elles durent parfois des années. Quand elle est passée au Canada, tu l’as suivi. Tu es une personne la suivant tout en extérieur à nous. Tu nous aides sans le vouloir. Mais tu le fais bien.

Léo Morin a écrit:Bordel de Calice, ce que tu tapes fort. C’est ce que je dis à chaque fois que je tombe sous tes coups. Pourtant, tu enseignes à la dure. Pire que les senseis horribles qu’on voit dans les animes. Genkai, tortue géniale et compagnie peuvent se rhabiller. Je pourrais presque jurer que tu les as inspirés. Ces mangakas japonais. Pourtant aucune de ces personnes à ses cheveux bleus. Je ne suis pas né de la dernière pluie. Je sais qu’ils ne sont pas naturels. J’ai vu sous le bleu, le vert, puis le blond. Tu dis souvent que ça fait cinq ans que le dojo existe. Mais j’ai l’impression que ça fait plus longtemps que ça. Que depuis des années, je suis passé devant sans oser y entrer. Qu'à part rejouer les scènes de l’enfant Karaté. Et Tabernacle, c’est complexe. Le vieux maître est gentil. Toi, tu ne l'es pas souvent. Mais tu enseignes. Jamais attaquer en premier sauf en cas de danger ou d’urgence. Tels sont tes mots. Je ne comprends pas pourquoi tu dis cela. Mais tu sembles si proche et si loin à la fois. Comme j’aimerais te voir sourire à ton Jules ou à ta blonde. Mais tant que je ne serai pas ceinture noire. Je resterai dans ce dojo. Pour finir par apercevoir ton sourire qui vaut toutes les poutines du pays. Je ne l'ai que imaginé, je l'avoue. Mais mes fantasmes sont ce qui me permet d'avancer. Même si pour ça, je dois te suivre dans une nouvelle voie... Tu en changes parfois. Tu pourrais créer la tienne... Je serai ton premier disciple, le plus fidèle...

En résumé :
1902 - Naissance de la petite demoiselle, pas si petite que ça.
1911 - Début dans un sport qui était un art martial ou la boxe
1920 - Rencontre de sa première petite amie, elle a 18 ans, elle a la rage au ventre. Elle fait en sorte de tout renverser par la force. Sa mère se demande souvent d'où vient toute cette violence. L'homme qu'elle a rencontré était si doux...
1933 - Mort de sa mère
1935 - Voyage en Corée, puis au Japon
1941 - Tentation de prendre les armes pour défendre son ancien pays. Mais elle est actuellement en Corée pour s'améliorer.
1943 - Rencontre d'une démone qui sera son nouveau crush, au Japon.
2013 - Voyage au Canada
2015 - Construction du dojo
2020 - Changement de "discipline"


Derrière l'écran


Mouhahaha, me revoici avec un tc, il sera pas long j'espère ptdr