Les pas discrets des pissenlits
Jane feat. Ael
La marche avait ce bon côté de dégourdir mes muscles. Je soulève un sourcil. Il avait vraiment soin lot de soucis.
« Je vois vous faites partie de ces gens qui ne tiennent pas en place. C’est mignon dans un sens. »
Je ris doucement, même si je que le vent doit être assez fort pour porter les être humains. Si je devais calculer, je crois que ça me ferait un gros mal de tête. Les mathématiques, je sais faire. Mais calculer la force du vent qu’il faut pour soulever un corps comme le sien est trop complexe.
« Ne dites pas ça, je pense que votre disparition rendrera triste quelqu’un. Si on peux me compter, j’en ferai partie. »
Mes pas sont suivis, il doit avoir l’habitude de marcher vite sûrement. Puis il me pose une étrange question qui me fait rire sur le coup. Il faut dire que je parais pas toute jeune. Mais ça me va. Ce corps comme des autres finira sa vie paisiblement, du moins, je l’espère.
« Je fais généralement confiance en mon instinct, il est généralement de bon conseil. C’est plus une sensation si tu veux mon avis. Si tu te sens assez à l’aise avec une personne que ces mots bien que maladroit ne te froisse pas. Que la personne t’aide à avancer. Je crois que ça fait une personne bonne. Après certaines peuvent jouer de ça. Faites attention à vous. Apprenez vous à vous faire confiance, vous êtes une belle personne. »
Je dis ça sans sous-entendu. Je pense que pour me plaire autrement que platonique, il faudrait bien plus que ça. J’aime cette vie de célibataire où ces jeunes me veulent bien dans leur vie malgré tout. Je reste une policière, c’est pas marquée sur mon front, mais il y a des choses qui ne trompe pas. Mon uniforme, certains mots et gestes que je peux faire.
« Je vois vous faites partie de ces gens qui ne tiennent pas en place. C’est mignon dans un sens. »
Je ris doucement, même si je que le vent doit être assez fort pour porter les être humains. Si je devais calculer, je crois que ça me ferait un gros mal de tête. Les mathématiques, je sais faire. Mais calculer la force du vent qu’il faut pour soulever un corps comme le sien est trop complexe.
« Ne dites pas ça, je pense que votre disparition rendrera triste quelqu’un. Si on peux me compter, j’en ferai partie. »
Mes pas sont suivis, il doit avoir l’habitude de marcher vite sûrement. Puis il me pose une étrange question qui me fait rire sur le coup. Il faut dire que je parais pas toute jeune. Mais ça me va. Ce corps comme des autres finira sa vie paisiblement, du moins, je l’espère.
« Je fais généralement confiance en mon instinct, il est généralement de bon conseil. C’est plus une sensation si tu veux mon avis. Si tu te sens assez à l’aise avec une personne que ces mots bien que maladroit ne te froisse pas. Que la personne t’aide à avancer. Je crois que ça fait une personne bonne. Après certaines peuvent jouer de ça. Faites attention à vous. Apprenez vous à vous faire confiance, vous êtes une belle personne. »
Je dis ça sans sous-entendu. Je pense que pour me plaire autrement que platonique, il faudrait bien plus que ça. J’aime cette vie de célibataire où ces jeunes me veulent bien dans leur vie malgré tout. Je reste une policière, c’est pas marquée sur mon front, mais il y a des choses qui ne trompe pas. Mon uniforme, certains mots et gestes que je peux faire.
codage par Laxy.