Mission capitale
Chat
Fatigue. Epuisement. Tu sors du commissariat, te masses rapidement les tempes. Ce travail aura ta mort. Pas tant à cause de la charge, avec le SWAT, tu as été habitué à bien pire. Mais. Tes collègues. Ils sont cons. Mais cons, tu n’as jamais vu ça de ta vie. Nan mais franchement, ça doit être épuisant d’être eux. Ils ne voient rien. Ils ne comprennent rien. Et quand tu leurs dis de faire quelque chose, c’est à peine s’ils le font bien, et tu dois TOUJOURS repasser derrière. Maintenant, il serait peut-être temps que tu entendes que c’est simplement que tu es extrêmement perfectionniste, que ça tire presque du trouble, et que si ce n’est pas toi qui le fais, tu n’es pas satisfait.
Pour faire bref, tu es un peu d’une humeur massacrante. Trois fois rien. Faut juste pas que qui que ce soit te fasse chier sinon, tu finiras en prison. Quoi que. L’avantage que tu as à être du côté des experts criminels, c’est que tu sais exactement comment faire pour dissimuler un crime. Tu te tapes le front, quelques passants te dévisagent, un peu surpris. Et pourtant, s’ils connaissaient la raison pour laquelle tu t’es remis les idées en place à l’aide de la paume de ta main…
Tu te glisses dans les ruelles de la ville. Elles se vident de plus en plus tandis que la lune démarre son ascension, montre sa jolie face blanche.
Flashback. L’odeur du sang. Décidément… Tu sors ton arme. Simple précaution. Et à nouveau, tu circules dans les ruelles, précautionneusement, sans un bruit. Au détour de l’une d’entre elle, un bâtard. Tu braques immédiatement ton arme sur lui. Et là, tu le vois. Un chat, en mauvais état. Tu ranges immédiatement ton arme et cours pour les rejoindre : Qu’est-ce qu’il s’est passé ?
Si c’est lui qui lui a fait ça, il se promet de le fumer.
thunderPour faire bref, tu es un peu d’une humeur massacrante. Trois fois rien. Faut juste pas que qui que ce soit te fasse chier sinon, tu finiras en prison. Quoi que. L’avantage que tu as à être du côté des experts criminels, c’est que tu sais exactement comment faire pour dissimuler un crime. Tu te tapes le front, quelques passants te dévisagent, un peu surpris. Et pourtant, s’ils connaissaient la raison pour laquelle tu t’es remis les idées en place à l’aide de la paume de ta main…
Tu te glisses dans les ruelles de la ville. Elles se vident de plus en plus tandis que la lune démarre son ascension, montre sa jolie face blanche.
Flashback. L’odeur du sang. Décidément… Tu sors ton arme. Simple précaution. Et à nouveau, tu circules dans les ruelles, précautionneusement, sans un bruit. Au détour de l’une d’entre elle, un bâtard. Tu braques immédiatement ton arme sur lui. Et là, tu le vois. Un chat, en mauvais état. Tu ranges immédiatement ton arme et cours pour les rejoindre : Qu’est-ce qu’il s’est passé ?
Si c’est lui qui lui a fait ça, il se promet de le fumer.
@Tom O. Pieper
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