Black Kinaï
Leon Kennedy ¤ Resident Evil
It is not hell if you like how it burns
Calculateur
Sadique
Manipulateur
Egocentrique
Mysogine
Détestable
Nom :Black
Prénom :Kinaï
Surnom / Alias :None
Nom démoniaque :Appolyon
Origine :Canadien
Race :Démon, troisième hiérarchie
Âge d'apparence :30 ans ¤ 05/04/1994
Âge réel :200 ans (1824)
Occupation :Force spéciale (puis tueur en série à ses heures perdues)
Groupe :Residents
Prénom :Kinaï
Surnom / Alias :None
Nom démoniaque :Appolyon
Origine :Canadien
Race :Démon, troisième hiérarchie
Âge d'apparence :30 ans ¤ 05/04/1994
Âge réel :200 ans (1824)
Occupation :Force spéciale (puis tueur en série à ses heures perdues)
Groupe :Residents
Caractère
Détestable. Pourriture. Salopard.
Ce sont les premiers mots qui me viennent lorsque je pense à toi, aussi tranchants que tes lames. Parce que t'as un vrai soucis avec ça Kinaï. Vraiment, c'est pas normal.
T'aimes te sentir fort, puissant. Tu comptes pas tant sur ton énergie démoniaque pour ça, même si t'aimes bien l'explorer.
Surtout sur ta force physique.
T'as un besoin de prouver, c'est juste dingue. T'hésites d'ailleurs pas à écraser les plus faibles pour ça, pour booster un peu l'égo.
Même si t'aimes bien te confronter au plus fort aussi, surtout si ça doit le briser.
Parce que si t'es sado, t'es surtout maso.
Sauf avec les femmes : t'as vraiment un avis nul à chier sur elles et tu te sens carrément supérieur.
Giga hâte du retour de flammes.
T'aimes beaucoup écrire, t'as une jolie plume, t'es le pro des poèmes.
Pour le reste, j'vous laisse découvrir inrp parce que je ne veux pas en dire plus sur ce phénomène, il me fait peur et c'est pas plaisant de le décrire gneh
Ce sont les premiers mots qui me viennent lorsque je pense à toi, aussi tranchants que tes lames. Parce que t'as un vrai soucis avec ça Kinaï. Vraiment, c'est pas normal.
T'aimes te sentir fort, puissant. Tu comptes pas tant sur ton énergie démoniaque pour ça, même si t'aimes bien l'explorer.
Surtout sur ta force physique.
T'as un besoin de prouver, c'est juste dingue. T'hésites d'ailleurs pas à écraser les plus faibles pour ça, pour booster un peu l'égo.
Même si t'aimes bien te confronter au plus fort aussi, surtout si ça doit le briser.
Parce que si t'es sado, t'es surtout maso.
Sauf avec les femmes : t'as vraiment un avis nul à chier sur elles et tu te sens carrément supérieur.
Giga hâte du retour de flammes.
T'aimes beaucoup écrire, t'as une jolie plume, t'es le pro des poèmes.
Pour le reste, j'vous laisse découvrir inrp parce que je ne veux pas en dire plus sur ce phénomène, il me fait peur et c'est pas plaisant de le décrire gneh
Niveaux de ton perso selon toi
Histoire
A burnt child loves the fire
TW : pyromanie, cannibalisme, pyromanie, encore de la pyromanie puis toujours de la pyromanie
« You turned the page...»
Tes doigts effleurent sa joue alors que tes lèvres capturent les siennes.
La chaleur de son corps.
La douceur de sa peau.
La beauté de ses traits, si fin.
La plus belle des peintures.
La plus féérique des histoires.
« I burned the book. »
Tes mains qui attrapent sa gorge, la serres.
Ton rire qui résonne.
Les flammes qui vous attrapent.
« All you have is fire.»
1824 : Première vie, France.
Parce que ta plume est une force et ta rage son essence, parce que ce monde est pourri et qu'il t'a fallu moins d'une vie pour le comprendre, parce que tu veux lui rendre tout ce qu'il t'a donné quitte à le faire brûler.
Tu as été poète et ta plume, affutée.
De tes écrits, rouge sang dont elle a été ta muse.
Ton encre.
Résumé :
- T'as spawn en tant qu'ado de 15 ans.
- Poète maudit durant le 19ème siècle
- Il a rencontré une femme dont il est tombé amoureux > contrat.
- Traduction de cet amour ? L'égorger et écrire un poème avec son sang, giga cute.
- T'es mort brûlé parce que tu te demandais ce que ça faisait à 30 ans.
1839 : Deuxième vie, Russie
Résumé :
- Décide d'expérimenter tous les péchés capitaux
- Gourmandise, vit une vie de chef, empoisonne un touuut petit peu certains clients.
- Il aime un peu trop tuer pour que ce soit sain en fait.
- Chope sa première essence.
- Mort à 40 ans : il a voulu voir ce que ça faisait de mourir empoisonné
1879 : Troisième vie, Inde
Résumé :
- Exploration de l'avarice
- A nouveau, rencontre d'une femme
- Tu l'étrangles alors que la maison autour de vous brûle, mort à 31 ans
1910 : Quatrième vie, Allemagne
Et cette fois-ci, le péché s'est imposé à toi. Le serpent, violent, a fait sa loi. Son venin que tu hais, que tu maudis qui brûle tes veines.
Cet instant qui manque de passion, la première fois que le sang t'a dégoûté.
Que son odeur, son goût t'a répugné.
Que la terre battue par les flammes t'a terrifié.
Loin de toi cette envie de mourir, il y avait surtout cette envie de grandir.
De gagner en puissance pour que plus aucun Anton ne connaisse la mort.
Que la colère soit ta seule maitresse.
Souffle de vie.
Crève.
Résumé :
- Guerre de 14-18 : t'es un soldat.
- Tu tombes réellement et sincèrement amoureux d'un compagnon de combat, il tombe, meurt.
- Tu découvres alors l'un des 7 péchés capitaux sans réellement le vouloir : la colère.
- Malgré tout, tu vivras vieux, jusqu'à 60 ans. Et t'as fait tombé le corps de tout ceux que tu as aperçu le jour de sa mort. Soit brûlé, soit légèrement grignoté, comme c'est étrange.
- Nan promis, t'étais pas là gnagnagna
Petite pause prélude en Enfer, t'as bien aimé, il faisait chaud. Nan vraiment, t'as pas trouvé ça si pire, t'es totalement bargeot.
1990 : Cinquième vie : Thunder Bay
T'as eu un gosse avec cette pute.
Non, c'était réellement une pute.
Elle n'a pas voulu avorter.
Elle s'est tirée.
Alors t'as dû l'élever, ce bâtard.
Non, réellement un bâtard.
T'as fait comme t'as pu, toi qui n'es pas né pour être père.
A côté, t'as continué tes délires avec la luxure.
T'as continué de baiser à tout va.
De sceller des contrats, t'en avais tout le tour du bras.
Quête de puissance, de vengeance.
Résumé :
- T'as spawn à l'âge de 20 ans, dans l'idée d'explorer la luxure.
- T'as beaucoup trainé avec une pute qui a fini par tomber enceinte. D'un bâtard donc.
- Elle n'a pas voulu avorter, s'est tirée et tu t'es dis qu'élever un gosse, ce serait une expérience comme une autre. Alors tu l'as appelé Anton parce que c'est ce que le générateur de prénom a dit puis t'as fait en sorte qu'il ait une vie pas trop pourri.
- T'es mort à ses 18 ans, donc en 2022, tu t'es ouvert le bide parce que... bon, vous n'avez donc pas compris qu'il est juste taré ?
- Mais vu que ta quête de puissance te rend très très efficace, t'as rapidement pu retourné sur Terre.
Sixième vie : Thunder Bay, 2022 :
Actuellement engagé dans les forces spéciales (en vrai, pour eux, t'as juste disparu 6 mois puis t'es revenu), tu t'occupes d'Anton comme tu le peux, pas encore prêt à tous les sacrifices pour lui mais ça, tu ne l'as jamais été.
T'es en repos en ce moment, quelle chance.
Toujours en quête de puissance, tu serais peut-être bien prêt à le sacrifier pour ça.
An eye for an eye, i don't fucking care if you go blind
« You turned the page...»
Tes doigts effleurent sa joue alors que tes lèvres capturent les siennes.
La chaleur de son corps.
La douceur de sa peau.
La beauté de ses traits, si fin.
La plus belle des peintures.
La plus féérique des histoires.
« I burned the book. »
Tes mains qui attrapent sa gorge, la serres.
Ton rire qui résonne.
Les flammes qui vous attrapent.
« All you have is fire.»
1824 : Première vie, France.
Dans l'éclat des flammes, ton plaisir s'enivre,
Toi, poète maudit, dans ta folie, te délivres.
Chaque mot consumé est un frisson divin,
Dans ce feu sacré, enfin, tu te sens divin.
Les pages s'embrasent sous ton regard avide,
Ta plume danse, tes pensées avides.
Tu brûles les chaînes de ta propre souffrance,
Dans l'incandescence, tu trouves ta puissance.
Les poèmes dévorés par l'ardeur de ton être,
Sont offrandes au brasier, ton ultime fenêtre.
Dans la dévastation, tu goûtes à la puissance,
Du poète maudit, en proie à sa démence.
Sous le ciel enflammé, tu deviens créateur,
De ton propre chaos, tu es le destructeur.
Dans chaque éclat de flamme, tu vois renaître,
Une liberté sauvage, un éclat de ton être.
Ainsi, dans la nuit où se perd ta raison,
Toi, le poète maudit, tu trouves ta maison.
Parmi les cendres fumantes, tu règnes en maître,
Le poète maudit, dans ta folie à renaître.
Toi, poète maudit, dans ta folie, te délivres.
Chaque mot consumé est un frisson divin,
Dans ce feu sacré, enfin, tu te sens divin.
Les pages s'embrasent sous ton regard avide,
Ta plume danse, tes pensées avides.
Tu brûles les chaînes de ta propre souffrance,
Dans l'incandescence, tu trouves ta puissance.
Les poèmes dévorés par l'ardeur de ton être,
Sont offrandes au brasier, ton ultime fenêtre.
Dans la dévastation, tu goûtes à la puissance,
Du poète maudit, en proie à sa démence.
Sous le ciel enflammé, tu deviens créateur,
De ton propre chaos, tu es le destructeur.
Dans chaque éclat de flamme, tu vois renaître,
Une liberté sauvage, un éclat de ton être.
Ainsi, dans la nuit où se perd ta raison,
Toi, le poète maudit, tu trouves ta maison.
Parmi les cendres fumantes, tu règnes en maître,
Le poète maudit, dans ta folie à renaître.
Parce que ta plume est une force et ta rage son essence, parce que ce monde est pourri et qu'il t'a fallu moins d'une vie pour le comprendre, parce que tu veux lui rendre tout ce qu'il t'a donné quitte à le faire brûler.
Tu as été poète et ta plume, affutée.
De tes écrits, rouge sang dont elle a été ta muse.
Ton encre.
Résumé :
- T'as spawn en tant qu'ado de 15 ans.
- Poète maudit durant le 19ème siècle
- Il a rencontré une femme dont il est tombé amoureux > contrat.
- Traduction de cet amour ? L'égorger et écrire un poème avec son sang, giga cute.
- T'es mort brûlé parce que tu te demandais ce que ça faisait à 30 ans.
1839 : Deuxième vie, Russie
Gourmandise
Dans ta cuisine envoûtante, tu règnes en maître,
Toi, chef gourmet, épris de goûts et de paraître.
Dans chaque plat, tu célèbres la gourmandise,
Un festin pour ton âme, une offrande à la délice.
Dans le chaudron bouillonnant, tu mélanges les péchés,
Les épices de la vie, les saveurs du passé.
La gourmandise te tente, l'appel de l'interdit,
Tu plonges dans l'abîme, avide et épris.
Le poison sucré, douceur empoisonnée,
Dans ton palais, une extase, une ivresse assumée.
Chaque bouchée, un péché, une douce damnation,
Tu te délectes du mal, sans aucune rédemption.
Ton corps chancelle, mais ton esprit s'exalte,
Dans la communion avec l'interdit, tu exultes.
La gourmandise te consume, te porte vers l'au-delà,
Dans le festin mortel, tu trouves ta voie, ton trépas.
Au cœur de l'ultime repas, tu t'abandonnes,
Emporté par la passion, dans la nuit qui résonne.
Toi, chef gourmet, dans ton dernier soupir,
Tu te perds dans l'extase, prêt à mourir.
Toi, chef gourmet, épris de goûts et de paraître.
Dans chaque plat, tu célèbres la gourmandise,
Un festin pour ton âme, une offrande à la délice.
Dans le chaudron bouillonnant, tu mélanges les péchés,
Les épices de la vie, les saveurs du passé.
La gourmandise te tente, l'appel de l'interdit,
Tu plonges dans l'abîme, avide et épris.
Le poison sucré, douceur empoisonnée,
Dans ton palais, une extase, une ivresse assumée.
Chaque bouchée, un péché, une douce damnation,
Tu te délectes du mal, sans aucune rédemption.
Ton corps chancelle, mais ton esprit s'exalte,
Dans la communion avec l'interdit, tu exultes.
La gourmandise te consume, te porte vers l'au-delà,
Dans le festin mortel, tu trouves ta voie, ton trépas.
Au cœur de l'ultime repas, tu t'abandonnes,
Emporté par la passion, dans la nuit qui résonne.
Toi, chef gourmet, dans ton dernier soupir,
Tu te perds dans l'extase, prêt à mourir.
Résumé :
- Décide d'expérimenter tous les péchés capitaux
- Gourmandise, vit une vie de chef, empoisonne un touuut petit peu certains clients.
- Il aime un peu trop tuer pour que ce soit sain en fait.
- Chope sa première essence.
- Mort à 40 ans : il a voulu voir ce que ça faisait de mourir empoisonné
1879 : Troisième vie, Inde
Avarice
Dans le crépitement des flammes, tu te tiens là,
Ton cœur serré par l'étau de l'avarice,
Tu regardes tes richesses consumer en un brasier,
Et pourtant, au fond de toi, c'est la délivrance qui surgit.
Chaque billet, chaque bijou qui s'embrase,
Libère un poids que tu portais depuis trop longtemps,
Dans la chaleur de l'incendie, tu sens une étrange légèreté,
Comme si chaque flammèche emportait un fardeau de ton âme.
Tu te laisses envelopper par la danse du feu,
Et dans sa danse furieuse, tu découvres une douceur,
C'est l'embrasement de ton ancienne vie,
Celle où l'avidité te tenait enchaîné dans ses serres.
Maintenant, tu es libre, libre comme les flammes qui dansent,
Libre de la tyrannie de l'or et de l'argent,
Dans l'embrasement de tes possessions,
Tu trouves la paix, la simplicité, la délivrance.
Dans ce feu purificateur, tu brûles avec tes biens,
Mais tu renaîtras de ses cendres,
Tel le phénix, tu t'élèveras vers une nouvelle aube.
Et j'ai pas d'inspi pour le dernier vers donc fuck.
Ton cœur serré par l'étau de l'avarice,
Tu regardes tes richesses consumer en un brasier,
Et pourtant, au fond de toi, c'est la délivrance qui surgit.
Chaque billet, chaque bijou qui s'embrase,
Libère un poids que tu portais depuis trop longtemps,
Dans la chaleur de l'incendie, tu sens une étrange légèreté,
Comme si chaque flammèche emportait un fardeau de ton âme.
Tu te laisses envelopper par la danse du feu,
Et dans sa danse furieuse, tu découvres une douceur,
C'est l'embrasement de ton ancienne vie,
Celle où l'avidité te tenait enchaîné dans ses serres.
Maintenant, tu es libre, libre comme les flammes qui dansent,
Libre de la tyrannie de l'or et de l'argent,
Dans l'embrasement de tes possessions,
Tu trouves la paix, la simplicité, la délivrance.
Dans ce feu purificateur, tu brûles avec tes biens,
Mais tu renaîtras de ses cendres,
Tel le phénix, tu t'élèveras vers une nouvelle aube.
Et j'ai pas d'inspi pour le dernier vers donc fuck.
Résumé :
- Exploration de l'avarice
- A nouveau, rencontre d'une femme
- Tu l'étrangles alors que la maison autour de vous brûle, mort à 31 ans
1910 : Quatrième vie, Allemagne
Colère
Dans l'ombre de la nuit, dans le fracas de la bataille,
Je t'écris, toi, mon ami tombé, ma rage qui déraille.
Ta mort, comme un brasier, consume mes pensées,
Et dans ma colère noire, je ne vois que vengeance, pas de trêve.
Ta silhouette disparaît dans la fumée des obus,
Et dans mon être brûle une rage impitoyable, un refus.
Je ne cherche pas la justice, je ne cherche pas le bien,
Juste à tuer, à déchirer, à venger les tiens.
Chaque ennemi tombé sous ma lame est un cri,
Un écho de ma rage, un geste de défiance, un défi.
Dans cette guerre sans merci, je suis devenu un spectre,
Portant sur mes épaules le fardeau de ta perte.
Ô rage, ô colère, vous êtes mes seuls compagnes,
Dans ce monde déchu où règne l'infame.
Je ne cherche pas la paix, je ne cherche que le sang,
Car tant que je respire, ton souvenir sera mon élan.
Que la mort soit ma seule rédemption, ma seule loi,
Dans ce chaos où règne la folie, où la raison se noie.
Je jure sur ton nom, mon ami tombé au combat,
Que ma rage sera mon guide, jusqu'à ce que je te rejoigne là-bas.
Je t'écris, toi, mon ami tombé, ma rage qui déraille.
Ta mort, comme un brasier, consume mes pensées,
Et dans ma colère noire, je ne vois que vengeance, pas de trêve.
Ta silhouette disparaît dans la fumée des obus,
Et dans mon être brûle une rage impitoyable, un refus.
Je ne cherche pas la justice, je ne cherche pas le bien,
Juste à tuer, à déchirer, à venger les tiens.
Chaque ennemi tombé sous ma lame est un cri,
Un écho de ma rage, un geste de défiance, un défi.
Dans cette guerre sans merci, je suis devenu un spectre,
Portant sur mes épaules le fardeau de ta perte.
Ô rage, ô colère, vous êtes mes seuls compagnes,
Dans ce monde déchu où règne l'infame.
Je ne cherche pas la paix, je ne cherche que le sang,
Car tant que je respire, ton souvenir sera mon élan.
Que la mort soit ma seule rédemption, ma seule loi,
Dans ce chaos où règne la folie, où la raison se noie.
Je jure sur ton nom, mon ami tombé au combat,
Que ma rage sera mon guide, jusqu'à ce que je te rejoigne là-bas.
Et cette fois-ci, le péché s'est imposé à toi. Le serpent, violent, a fait sa loi. Son venin que tu hais, que tu maudis qui brûle tes veines.
Cet instant qui manque de passion, la première fois que le sang t'a dégoûté.
Que son odeur, son goût t'a répugné.
Que la terre battue par les flammes t'a terrifié.
Loin de toi cette envie de mourir, il y avait surtout cette envie de grandir.
De gagner en puissance pour que plus aucun Anton ne connaisse la mort.
Que la colère soit ta seule maitresse.
Souffle de vie.
Crève.
Résumé :
- Guerre de 14-18 : t'es un soldat.
- Tu tombes réellement et sincèrement amoureux d'un compagnon de combat, il tombe, meurt.
- Tu découvres alors l'un des 7 péchés capitaux sans réellement le vouloir : la colère.
- Malgré tout, tu vivras vieux, jusqu'à 60 ans. Et t'as fait tombé le corps de tout ceux que tu as aperçu le jour de sa mort. Soit brûlé, soit légèrement grignoté, comme c'est étrange.
- Nan promis, t'étais pas là gnagnagna
Petite pause prélude en Enfer, t'as bien aimé, il faisait chaud. Nan vraiment, t'as pas trouvé ça si pire, t'es totalement bargeot.
1990 : Cinquième vie : Thunder Bay
Luxure :
Dans les recoins obscurs où je me love,
Je t'attire, ô créature, toi, mon trophée.
Dans l'effluve du vice qui m'enveloppe,
Je te séduis, ô proie, toi, mon éclat.
Dans les brasiers où la passion s'exalte,
Je te consume, ô faible, toi, mon festin.
Dans les délices de mes illusions,
Je t'ensorcelle, ô humain, toi, mon illusion.
Dans les labyrinthes où je te guide,
Je te perds, ô errant, toi, ma marionnette.
Dans les abysses où tu te noies,
Je te possède, ô pécheur, toi, mon jouet.
Dans la luxure où je t'emmène,
Je te ravage, ô innocent, toi, ma victime.
Dans les tourments où tu te débats,
Je jubile, ô jouisseur, toi, mon écho.
Dans les ténèbres où tu te dévoiles,
Je te domine, ô fragile, toi, mon esclave.
Dans l'éternité où tu te condamnes,
Je règne, ô déchu, toi, mon royaume.
Je t'attire, ô créature, toi, mon trophée.
Dans l'effluve du vice qui m'enveloppe,
Je te séduis, ô proie, toi, mon éclat.
Dans les brasiers où la passion s'exalte,
Je te consume, ô faible, toi, mon festin.
Dans les délices de mes illusions,
Je t'ensorcelle, ô humain, toi, mon illusion.
Dans les labyrinthes où je te guide,
Je te perds, ô errant, toi, ma marionnette.
Dans les abysses où tu te noies,
Je te possède, ô pécheur, toi, mon jouet.
Dans la luxure où je t'emmène,
Je te ravage, ô innocent, toi, ma victime.
Dans les tourments où tu te débats,
Je jubile, ô jouisseur, toi, mon écho.
Dans les ténèbres où tu te dévoiles,
Je te domine, ô fragile, toi, mon esclave.
Dans l'éternité où tu te condamnes,
Je règne, ô déchu, toi, mon royaume.
T'as eu un gosse avec cette pute.
Non, c'était réellement une pute.
Elle n'a pas voulu avorter.
Elle s'est tirée.
Alors t'as dû l'élever, ce bâtard.
Non, réellement un bâtard.
T'as fait comme t'as pu, toi qui n'es pas né pour être père.
A côté, t'as continué tes délires avec la luxure.
T'as continué de baiser à tout va.
De sceller des contrats, t'en avais tout le tour du bras.
Quête de puissance, de vengeance.
Résumé :
- T'as spawn à l'âge de 20 ans, dans l'idée d'explorer la luxure.
- T'as beaucoup trainé avec une pute qui a fini par tomber enceinte. D'un bâtard donc.
- Elle n'a pas voulu avorter, s'est tirée et tu t'es dis qu'élever un gosse, ce serait une expérience comme une autre. Alors tu l'as appelé Anton parce que c'est ce que le générateur de prénom a dit puis t'as fait en sorte qu'il ait une vie pas trop pourri.
- T'es mort à ses 18 ans, donc en 2022, tu t'es ouvert le bide parce que... bon, vous n'avez donc pas compris qu'il est juste taré ?
- Mais vu que ta quête de puissance te rend très très efficace, t'as rapidement pu retourné sur Terre.
Sixième vie : Thunder Bay, 2022 :
Anton:
Dans l'obscurité du passé, tu errais, père désabusé,
Ton cœur de glace, ton âme écorchée, un fardeau pesant à porter.
Ton fils, une ombre que tu fuyais, un miroir de tes regrets,
Chaque cri, chaque rire, un écho de tes propres tourments.
Mais le temps, doux conteur, t'a murmuré sa sagesse,
Dans les yeux de ton enfant, tu vis briller une promesse.
Chaque étreinte, chaque sourire, une lueur dans ta nuit,
Ton amour enfoui, réveillé, dévoilé, refleurit.
Tu apprends à être père, à écouter, à aimer sans retenue,
Dans chaque pas, dans chaque geste, une nouvelle avenue.
Ton cœur se réchauffe, se remplit de tendresse,
Dans ce lien retrouvé, une douce ivresse.
Dans les rires de ton fils, tu trouves une chanson,
Dans ses pleurs, une symphonie d'émotion.
De l'ombre à la lumière, ton chemin s'est tracé,
Dans cette danse d'amour, enfin, tu t'es trouvé.
Ton cœur de glace, ton âme écorchée, un fardeau pesant à porter.
Ton fils, une ombre que tu fuyais, un miroir de tes regrets,
Chaque cri, chaque rire, un écho de tes propres tourments.
Mais le temps, doux conteur, t'a murmuré sa sagesse,
Dans les yeux de ton enfant, tu vis briller une promesse.
Chaque étreinte, chaque sourire, une lueur dans ta nuit,
Ton amour enfoui, réveillé, dévoilé, refleurit.
Tu apprends à être père, à écouter, à aimer sans retenue,
Dans chaque pas, dans chaque geste, une nouvelle avenue.
Ton cœur se réchauffe, se remplit de tendresse,
Dans ce lien retrouvé, une douce ivresse.
Dans les rires de ton fils, tu trouves une chanson,
Dans ses pleurs, une symphonie d'émotion.
De l'ombre à la lumière, ton chemin s'est tracé,
Dans cette danse d'amour, enfin, tu t'es trouvé.
Actuellement engagé dans les forces spéciales (en vrai, pour eux, t'as juste disparu 6 mois puis t'es revenu), tu t'occupes d'Anton comme tu le peux, pas encore prêt à tous les sacrifices pour lui mais ça, tu ne l'as jamais été.
T'es en repos en ce moment, quelle chance.
Toujours en quête de puissance, tu serais peut-être bien prêt à le sacrifier pour ça.
An eye for an eye, i don't fucking care if you go blind
Derrière l'écran
Encore Zielou, j'vous aime, désolé pour ça