Scene 3
feat
Frey
Même si les étoiles s'illuminent
Une fusée dans la nuit, ça se voit plus
Une fusée dans la nuit, ça se voit plus
Enfin, enfin, il avait pu retirer la tenue de cuistot, puant comme une grand-mère asthmatique obèse chassant sa télé à -90% durant le black friday... Autant dire qu'il ne sentait pas la rose. Pas du tout même. Il soupira en se dirigeant vers la douche de service. Les lunettes sur le rebord du lavabo, une bière salvatrice déposé à côté de la douche... Ha que c'était bon... Ha qu'il allait sentir bon. Etalant le produit bas de gamme sur son corps, il raccrocha à son sommet le pommeau. Les gouttelettes faisaient son effet sur les muscles fatigués. La binouze qu'il ramassa fit le même genre d'effet dans son gosier. Ouaiiis... C'était ça une bonne fin de journée.
Levé 5h du matin, au boulot à 6h30, fin de service à 14h et on reprend à 19h pour un speed jusqu'à minuit... Les journées complètes comme celle-là avait de quoi à le rendre barge, mais un samedi c'était bien payé. Alors, comme un fin de semaine, il se la taxait. Dépôt du poison en bouteille contre le carrelage, tour de l'eau contre lui, sortie opérée vers la serviette, il se libéra de tout ce qui avait fait les travaux de sa journée.
Une fois la serviette mis au sale à côté de ses semblables de tables et des autres tissus à carreaux vieillots nécessaires au bon fonctionnement de la crêperie, il reprit sa libératrice et la finit. Hop direction la poubelle, copine ! Petit temps en plus pour s'habiller dans une tenue de civile appropriée, il se regarda dans le miroir pour s'admirer. Mouais, on était pas encore très bg en flou. Les lunettes rajoutées, et ça ressemblait déjà plus à quelque chose.
Un long soupir le prit. A la fois soulagé de cette fin, mais aussi heureux de débuter son week-end, il tourna les clefs et finalisa son départ en fermant le restaurant. Il les cacha dans un coin tenu secret, même pour nous lecteurs et auteurs, vous voyez ?
Maintenant, c'était le bon moment pour traverser la ville... Et pourquoi pas pour se diriger vers le parc pour y flâner le temps que le sommeil et l'envie de trouver son lit le prenne ? Même si ça semblait fou, il avait encore en lui le reste de stimulation de son travail. Impossible de se poser chez lui avec ça en lui, au contraire, il finirait par tout nettoyer comme un demeuré et ça serait clairement pire à gérer.
Dans cette optique, il se dit que le parc vide vaudrait mieux le coup que la maison à devenir timbré.
C'est comme ça, qu'il était une fois où il se trouva dans ce parc alors que la pleine lune montait tout droit dans le ciel. C'est comme ça, que cette fois là, ça dégénéra... et qu'il ne comprit pas exactement pourquoi.
Simplement par ce qu'en vrai, il avait juste eu le besoin idiot de s'en mêler.
Bon dieu, pourquoi il avait décidé de se mettre entre deux mecs et... et ce type là. Il voulait juste se faire frapper en fait. Il était maso.
Peu importe, laissons le parler. Nous reviendrons ensuite sur les faits.
Levé 5h du matin, au boulot à 6h30, fin de service à 14h et on reprend à 19h pour un speed jusqu'à minuit... Les journées complètes comme celle-là avait de quoi à le rendre barge, mais un samedi c'était bien payé. Alors, comme un fin de semaine, il se la taxait. Dépôt du poison en bouteille contre le carrelage, tour de l'eau contre lui, sortie opérée vers la serviette, il se libéra de tout ce qui avait fait les travaux de sa journée.
Une fois la serviette mis au sale à côté de ses semblables de tables et des autres tissus à carreaux vieillots nécessaires au bon fonctionnement de la crêperie, il reprit sa libératrice et la finit. Hop direction la poubelle, copine ! Petit temps en plus pour s'habiller dans une tenue de civile appropriée, il se regarda dans le miroir pour s'admirer. Mouais, on était pas encore très bg en flou. Les lunettes rajoutées, et ça ressemblait déjà plus à quelque chose.
Un long soupir le prit. A la fois soulagé de cette fin, mais aussi heureux de débuter son week-end, il tourna les clefs et finalisa son départ en fermant le restaurant. Il les cacha dans un coin tenu secret, même pour nous lecteurs et auteurs, vous voyez ?
Maintenant, c'était le bon moment pour traverser la ville... Et pourquoi pas pour se diriger vers le parc pour y flâner le temps que le sommeil et l'envie de trouver son lit le prenne ? Même si ça semblait fou, il avait encore en lui le reste de stimulation de son travail. Impossible de se poser chez lui avec ça en lui, au contraire, il finirait par tout nettoyer comme un demeuré et ça serait clairement pire à gérer.
Dans cette optique, il se dit que le parc vide vaudrait mieux le coup que la maison à devenir timbré.
C'est comme ça, qu'il était une fois où il se trouva dans ce parc alors que la pleine lune montait tout droit dans le ciel. C'est comme ça, que cette fois là, ça dégénéra... et qu'il ne comprit pas exactement pourquoi.
Simplement par ce qu'en vrai, il avait juste eu le besoin idiot de s'en mêler.
Bon dieu, pourquoi il avait décidé de se mettre entre deux mecs et... et ce type là. Il voulait juste se faire frapper en fait. Il était maso.
Peu importe, laissons le parler. Nous reviendrons ensuite sur les faits.