C'est au poil tout ça !
Jane feat. Grace
J’aime le parc, il est toujours beau à mes yeux. Puis il y a les chiens. Les chiens par toutes les choses bonnes dans la vie. Il y a le chien. Cet animal si mignon, si beau, si gentil. Comment ça, je suis gaga ? Non, mais regardez-les courir après leurs humains ou non. J’en veux un à moi. Je sais que je suis sur le point de m’en procurer un. Mais des choses me retienne à sauter le pas. Mon travail qui n’est pas toujours régulier. Et aussi le fait que je ne sais pas si mon petit appartement pourrait le rendre heureux. Je suis le fessier entre deux chaises. Pour rester polie.
Alors que je laisse mon regard se perdre dans les mouvements des chiens, certains me regarde avec les yeux. Bon, pour certaines races, je devine qu’ils me voient sous leurs poils. Certains sont propres, d’autres plus sales. Mais ils jouent. Ils semblent si heureux. Qu’est que je donnerai pour courir avec eux. Je ne sais pas. Mais c’était fort pour que je reste là. À les observer.
Ce que je prévois, c’est de me recevoir un objet en plein visage. Si le propriétaire de cette balle peut se montrer. Ça me ferait plaisir. Je me masse le nez. Je ne saigne pas. C’est déjà ça. Je lâche un soupir, vite coupée dans mon agacement par une bête très poilue. Un chien. Je me sens un peu stupide. Je me mors la lèvre.
« Dites est-ce que je peux caresser ce chien ? »
Je le crie, mais je ne touche pas le chien. Tant que je ne suis pas autorisé, je ne le fais pas. C’est une règle que je me suis donnée. Parce que les maîtres-chiens dans la police n’aiment pas qu’on ne leur demande pas. Depuis, je demande toujours. Toujours.
Alors que je laisse mon regard se perdre dans les mouvements des chiens, certains me regarde avec les yeux. Bon, pour certaines races, je devine qu’ils me voient sous leurs poils. Certains sont propres, d’autres plus sales. Mais ils jouent. Ils semblent si heureux. Qu’est que je donnerai pour courir avec eux. Je ne sais pas. Mais c’était fort pour que je reste là. À les observer.
Ce que je prévois, c’est de me recevoir un objet en plein visage. Si le propriétaire de cette balle peut se montrer. Ça me ferait plaisir. Je me masse le nez. Je ne saigne pas. C’est déjà ça. Je lâche un soupir, vite coupée dans mon agacement par une bête très poilue. Un chien. Je me sens un peu stupide. Je me mors la lèvre.
« Dites est-ce que je peux caresser ce chien ? »
Je le crie, mais je ne touche pas le chien. Tant que je ne suis pas autorisé, je ne le fais pas. C’est une règle que je me suis donnée. Parce que les maîtres-chiens dans la police n’aiment pas qu’on ne leur demande pas. Depuis, je demande toujours. Toujours.
codage par Laxy.