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LES INTRIGUES sont de retour ! (ou plutôt elles se lancent 
) Si ça t'intéresse de débloquer des trucs au niveau du contexte, c'est par 
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Concordance de chiotsJane feat. Kenny
Les pleurs, je sais combien ça peut m’affecter d’une manière ou d’une autre. Je garde le sourire quand je suis autorisé à le faire. Ça ne se fait pas quand une personne perds un proche. Je ne suis peut-être pas assez brusque pour garder ma bonne humeur lors de ces moments. Je compatis et fait en sorte que ça finisse au mieux. Sauf que si ça vient à moi, c’est que généralement, ça dépasse déjà certains points.
Les mains dans les poches, j’avance dans le parc. J’aime toujours y aller, parce que je peux voir diverses choses, mais la plus importante était les chiens et leurs joies pour la plupart. M’amusant de voir certains s’extasier pour rapporter un frisbee. Mais là, vu l’heure, j’aurai droit surtout à certaines personnes en particulier. Il n’est pourtant pas si tard, mais les étudiants sont pour la plupart sortis. Ils traînent assez peu ici, sauf cas exceptionnel. Il y a toujours cette jeune femme qui dessine les quelques canards qui se baladent parfois. Quand ils sont plus là, je l’ai déjà surprise entrain de croquer les nature et les jeunes couples. Je n’ai rien dit, parce que je me souvenais de ce que disait mon ancienne collègue.
Quand j’attends un gémissement, bien sûr, j’approche avec prudence. J’ai déjà surpris deux jeunes qui s’ébattaient et j’ai été obligé de les punir selon la loi. Donc c’est avec douceur que je m’approche de ce qui ressemble pour moi à un pleur d’un chien couplé à celui d’un humain. Un maître et son animal blessé ? Double urgence. Je presse lègérement le pas pour retrouver face à un chien et un jeune homme pleurant. Le chien à la patte avant droite légèrement ensanglantée. J’ai du bandage assez pour ça. Mais j’ignore de quoi souffre le jeune homme. Laissant une distance entre eux et moi. Je m’exprime le plus doucement possible que le permet ma voix bourrue.
« Boujour à vous, je vais vous aider tous les deux. Pourrais-je m’approcher ? Je vous jure que je veux que votre bien… »
Je sors de mes poches mon bandage et mon kit de premier secours. J'espère que ça suffira à les convaincre.
Les mains dans les poches, j’avance dans le parc. J’aime toujours y aller, parce que je peux voir diverses choses, mais la plus importante était les chiens et leurs joies pour la plupart. M’amusant de voir certains s’extasier pour rapporter un frisbee. Mais là, vu l’heure, j’aurai droit surtout à certaines personnes en particulier. Il n’est pourtant pas si tard, mais les étudiants sont pour la plupart sortis. Ils traînent assez peu ici, sauf cas exceptionnel. Il y a toujours cette jeune femme qui dessine les quelques canards qui se baladent parfois. Quand ils sont plus là, je l’ai déjà surprise entrain de croquer les nature et les jeunes couples. Je n’ai rien dit, parce que je me souvenais de ce que disait mon ancienne collègue.
Quand j’attends un gémissement, bien sûr, j’approche avec prudence. J’ai déjà surpris deux jeunes qui s’ébattaient et j’ai été obligé de les punir selon la loi. Donc c’est avec douceur que je m’approche de ce qui ressemble pour moi à un pleur d’un chien couplé à celui d’un humain. Un maître et son animal blessé ? Double urgence. Je presse lègérement le pas pour retrouver face à un chien et un jeune homme pleurant. Le chien à la patte avant droite légèrement ensanglantée. J’ai du bandage assez pour ça. Mais j’ignore de quoi souffre le jeune homme. Laissant une distance entre eux et moi. Je m’exprime le plus doucement possible que le permet ma voix bourrue.
« Boujour à vous, je vais vous aider tous les deux. Pourrais-je m’approcher ? Je vous jure que je veux que votre bien… »
Je sors de mes poches mon bandage et mon kit de premier secours. J'espère que ça suffira à les convaincre.
codage par Laxy.
