C'est une putain de blague ?
Orpheus Hassan
Tu t'engouffres dans une ruelle sombre en courant. Tu as réussi à les distancer un peu, tu ne penses pas qu'ils t'ont vu te cacher. Tu te plaques contre le mur, le souffle court. Tu jettes un œil furtif. Ils te cherchent parmi les débris, renversant tout ce qu'ils trouvent. Ils ne tarderont pas à arriver à ta hauteur. Tu as besoin de reprendre un peu ton souffle avant de courir. Tu n'es pas du tout d'humeur à te battre ce soir, pour une fois, ce n'est pas toi qui a provoqué. Ils sont sortis de nul part, et ont décidé de courir après. Ils cherchaient probablement une proie de base, tu as juste été au mauvais endroit, au mauvais moment.
Tu ne sais pas s'ils sont des Bones. Il faut dire que tu ne connais pas tout le monde. En tout cas, ils sont rapides, vifs, et ont surtout une bonne coordination de groupe. Ils ne semblent pas être sous l'emprise de stupéfiants, ni d'alcool. Leurs paroles sont claires, leurs gestes aussi. Tu préfères éviter le conflit, tu sembles avoir très peu de chance de les vaincre.
Les fracas de poubelles se stoppent. Ils ont abandonné ? Ils n'ont pas énormément de motivation, tu t'attendais à mieux venant de leur part... Mais bon, tu ne vas pas te plaindre, tu aimerais pouvoir rentrer chez toi. Tu as fini le taf, tu as besoin de repos.
Ces doux rêves sont rapidement brisés par des éclats de voix. Ils commencent à beugler. Tu devines facilement qu'ils ont trouvé une nouvelle pauvre personne à victimiser. Tu passes ta tête.
Non. Ce n'est pas ce que tu crois. C'est une putain de blague ? Remarque, ce serait le moment de faire comme si tu n'as rien vu. Tu hausses les épaules, et passes tes mains dans tes poches, continuant ta route. Tu t'arrêtes soudainement, la tête basse. Ton visage est totalement neutre, entouré par tes cheveux qui ne ressemblent plus à rien à cause de la course poursuite.
Dans une grimace, tu tournes les talons.
Orpheus. Tu ne sais pas ce qu'il fout dans des quartiers aussi douteux en plein milieu de la nuit, mais il est désormais entouré par ces trois hommes. Tu sors de ta cachette. Tes yeux sont enflammés par la colère. Si vous sortez entier de guet-apens, tu le tues.
Tu ne sais pas s'ils sont des Bones. Il faut dire que tu ne connais pas tout le monde. En tout cas, ils sont rapides, vifs, et ont surtout une bonne coordination de groupe. Ils ne semblent pas être sous l'emprise de stupéfiants, ni d'alcool. Leurs paroles sont claires, leurs gestes aussi. Tu préfères éviter le conflit, tu sembles avoir très peu de chance de les vaincre.
Les fracas de poubelles se stoppent. Ils ont abandonné ? Ils n'ont pas énormément de motivation, tu t'attendais à mieux venant de leur part... Mais bon, tu ne vas pas te plaindre, tu aimerais pouvoir rentrer chez toi. Tu as fini le taf, tu as besoin de repos.
Ces doux rêves sont rapidement brisés par des éclats de voix. Ils commencent à beugler. Tu devines facilement qu'ils ont trouvé une nouvelle pauvre personne à victimiser. Tu passes ta tête.
Non. Ce n'est pas ce que tu crois. C'est une putain de blague ? Remarque, ce serait le moment de faire comme si tu n'as rien vu. Tu hausses les épaules, et passes tes mains dans tes poches, continuant ta route. Tu t'arrêtes soudainement, la tête basse. Ton visage est totalement neutre, entouré par tes cheveux qui ne ressemblent plus à rien à cause de la course poursuite.
Dans une grimace, tu tournes les talons.
"Merde, il fait chier..."
Orpheus. Tu ne sais pas ce qu'il fout dans des quartiers aussi douteux en plein milieu de la nuit, mais il est désormais entouré par ces trois hommes. Tu sors de ta cachette. Tes yeux sont enflammés par la colère. Si vous sortez entier de guet-apens, tu le tues.