LES INTRIGUES sont de retour ! (ou plutôt elles se lancent 
) Si ça t'intéresse de débloquer des trucs au niveau du contexte, c'est par 
Elle te provoque. Un jeu qui te plait. Ton sourire gagne encore en malice, parce que oui, c’était encore possible. Tu te surprends toi-même sur ce coup-là. Sa voix… Astarté s’inquiète pour toi. Si ce n’est pas adorable ! En réalité, tu la comprends. Tu es le premier à t’inquiéter de ton état : un incube qui n’entretient plus aucune activité sexuelle, tu crains un petit peu pour sa vie. Tu as beau être un bestiau de plusieurs millénaires, tu doutes de pouvoir réellement faire face à quiconque en ce moment. Tu es une proie facile. De l’essence gratuite. Tu es en train de devenir le point faible de ton frère et c’est réellement tout ce que tu détestes.
Puis il y a cette partie de toi. Celle qui n’en peut plus que tout le monde s’inquiète constamment pour toi. Tu es un adulte. Tu es grand. Tu sais te gérer. Alors, tu sais, tu n’en donnes pas l’impression parfois. Tu as tendance à réagir un peu trop sur des coups de tête et tu donnes facilement l’impression que tu es en train de foncer dans le mur. Et pourtant, croyez-le ou non, tu sais ce que tu fais ! Sauf quand tu es parti avec Ange. Mais ça, c’était un cas à part : lorsque c’est une situation que tu ne connais vraiment pas, il t’arrive de faire les mauvais choix. Mais ça reste assez exceptionnel, ce n’est pas courant ! Enfin… pas trop… raaah, tu n’arrives même plus à réfléchir correctement, quelle plaie !
Arkan. Ce soir, tu dois être Arkan. Renouer avec celui que tu es réellement. C’est Arkan qu’elle veut, c’est Arkan qu’elle aura. Souviens-tu… bon sang, tu n’as pas pu oublier en dix ans ce que tu as été en 3100 années ! Ça va revenir, tu as peut-être un peu besoin d’entrainer, mais tu vas y arriver. Ce n’est pas sorcier, tu le sais. Et pourtant, c’est si compliqué.
Tous ces doutes, tu ne les laisses pas paraitre. Rien dans ton attitude ne les montre. Tu es simplement toi. Impassible. Elle commence son décompte. Chaque mot te permet de t’ancrer un petit peu plus dans la réalité. Chaque chiffre a un impact puissant sur toi, le même effet qu’une claque qui te réveillerait de plus en plus.
Être Arkan. Non, ça n’a rien de sorcier. C’est instinctif, presque animal. Être toi. Qu’est-ce que tu aurais fait, à ce moment-précis ? Aurais-tu choisi le bar, ou dans le faire au beau milieu de la rue ? Sa main qui se glisse dans ton pantalon…
A ce moment-là, tout va incroyablement vite. Si l’excitation explose, tu sens les griffes de tes démons brutalement se refermer sur toi. L’angoisse qui monte en flèche, qui te prend aux tripes. Si tu comptais répondre, tu fais ce qu’à coup sûr, Arkan n’aurait jamais fait. Brutalement, tu te sépares d’elle. Tu refermes immédiatement tes bras, lui tournes le dos, restant droit comme un I. Nerveusement, tes ongles viennent gratter ton bras, le faisant tourner au rouge. Tu essayes de faire taire toutes ces voix qui t’assaillent. La sienne, surtout. Ange : « Excuse-moi, je… »
Tu ne sais pas comment lui expliquer ça. Pourtant, tu en as déjà parlé à Alistair à voix haute. Tu l’as déjà fait. Mais le faire une seconde fois, surtout à Eva… C’est compliqué : « Je n’ai pas vécu des choses simples ces 10 dernières années. J’ai réellement envie et besoin de le faire mais je préfèrerais si ça ne te dérange pas qu’on parte sur une troisième option : dans un endroit un minimum sécurisant. »
Chez elle ou chez toi, cela t’importe peu : « Et je t’expliquerai pourquoi après si tu veux… »
Puis il y a cette partie de toi. Celle qui n’en peut plus que tout le monde s’inquiète constamment pour toi. Tu es un adulte. Tu es grand. Tu sais te gérer. Alors, tu sais, tu n’en donnes pas l’impression parfois. Tu as tendance à réagir un peu trop sur des coups de tête et tu donnes facilement l’impression que tu es en train de foncer dans le mur. Et pourtant, croyez-le ou non, tu sais ce que tu fais ! Sauf quand tu es parti avec Ange. Mais ça, c’était un cas à part : lorsque c’est une situation que tu ne connais vraiment pas, il t’arrive de faire les mauvais choix. Mais ça reste assez exceptionnel, ce n’est pas courant ! Enfin… pas trop… raaah, tu n’arrives même plus à réfléchir correctement, quelle plaie !
Arkan. Ce soir, tu dois être Arkan. Renouer avec celui que tu es réellement. C’est Arkan qu’elle veut, c’est Arkan qu’elle aura. Souviens-tu… bon sang, tu n’as pas pu oublier en dix ans ce que tu as été en 3100 années ! Ça va revenir, tu as peut-être un peu besoin d’entrainer, mais tu vas y arriver. Ce n’est pas sorcier, tu le sais. Et pourtant, c’est si compliqué.
Tous ces doutes, tu ne les laisses pas paraitre. Rien dans ton attitude ne les montre. Tu es simplement toi. Impassible. Elle commence son décompte. Chaque mot te permet de t’ancrer un petit peu plus dans la réalité. Chaque chiffre a un impact puissant sur toi, le même effet qu’une claque qui te réveillerait de plus en plus.
Être Arkan. Non, ça n’a rien de sorcier. C’est instinctif, presque animal. Être toi. Qu’est-ce que tu aurais fait, à ce moment-précis ? Aurais-tu choisi le bar, ou dans le faire au beau milieu de la rue ? Sa main qui se glisse dans ton pantalon…
A ce moment-là, tout va incroyablement vite. Si l’excitation explose, tu sens les griffes de tes démons brutalement se refermer sur toi. L’angoisse qui monte en flèche, qui te prend aux tripes. Si tu comptais répondre, tu fais ce qu’à coup sûr, Arkan n’aurait jamais fait. Brutalement, tu te sépares d’elle. Tu refermes immédiatement tes bras, lui tournes le dos, restant droit comme un I. Nerveusement, tes ongles viennent gratter ton bras, le faisant tourner au rouge. Tu essayes de faire taire toutes ces voix qui t’assaillent. La sienne, surtout. Ange : « Excuse-moi, je… »
Tu ne sais pas comment lui expliquer ça. Pourtant, tu en as déjà parlé à Alistair à voix haute. Tu l’as déjà fait. Mais le faire une seconde fois, surtout à Eva… C’est compliqué : « Je n’ai pas vécu des choses simples ces 10 dernières années. J’ai réellement envie et besoin de le faire mais je préfèrerais si ça ne te dérange pas qu’on parte sur une troisième option : dans un endroit un minimum sécurisant. »
Chez elle ou chez toi, cela t’importe peu : « Et je t’expliquerai pourquoi après si tu veux… »
Desiderium
inebrians
inebrians
Diable
elirose
