Fleurs & Violence
Il y avait peu de chose qui mettait Arthur mal à l’aise. Pas qu’il n’appréciait pas le Chevalier, au contraire, il le respectait énormément autant pour son travail que parce qu’il avait été quelqu’un de très proche de Rachiar. De plus, il le connaissait depuis toujours et le blond avait tendance à s’attacher aux visages qui l’accompagnaient dans sa longue existence. Mais ce type avait vraiment le don de lui filer des frissons dans le dos et pas des frissons agréables …
Heureusement, il savait que cette rencontre avait un but. Ils allaient parler dopage et Arthur remercier le Diable pour ça. Il maîtrisait le sujet sur le bout des doigts et ne se retrouverait pas à balbutier des inepties devant le géant. Il était au moins rassuré sur un point.
Le bâtard se prépara avec soin, enfilant une tenue qui, il l’espérait, n’allait pas froisser son collègue. Mais il fallait bien l’avouer, les rendez-vous avec Alistair n’étaient pas ses moments favoris. Mais lui, ce costume de couleur tangerine, il le trouvait parfait ! Il récupéra son sac, y fourra toutes les notes qu’il avait faites pour l’occasion, ainsi que des échantillons qui rejoignirent le gloubi-boulga d’autres objets déjà présent à l’intérieur. Puis, il partit direction les bas quartiers, toujours aussi nerveux de l’entretien qui allait suivre, mais un petit sourire vissé à son visage. Après tout Alistair était un peu sa famille.
Même si cet endroit était son terrain de jeu, les combats illégaux n’étaient pas une activité qu’il appréciait … Trop de brutalité … Mais cette brutalité, c’était justement le truc d’Alistair, il le savait. Alors pour aujourd’hui, il allait devoir supporter l’odeur du sang, de la sueur et de la peur. Et il ne savait même pas si ce dernier allait lui faire rencontrer les combattants ou pas. Il espérait que non … Mais il ne pouvait être sûr de rien …
Il arriva au lieu de rendez-vous, à l’heure, comme à son habitude et alla saluer Alistair d’une légère inclinaison du haut de son corps.
« Bien le bonsoir Alistair ! Je suis ravie de te voir en cette belle soirée ! »
Arthur lâcha son énorme sac qui s’écrasa à ses pieds, dans un bruit bizarre, et sourit de manière joyeuse au Chevalier en face de lui. Même nerveux, le bâtard ne pouvait s’empêcher de sourire à tout-va. Et puis comme dit un peu plus tôt, au fond il l’aimait bien ce démon de la destruction.
« Comment vas-tu et comment vont les affaires ! ? »
Arthur avait définitivement trop d'énergie parfois ...
Heureusement, il savait que cette rencontre avait un but. Ils allaient parler dopage et Arthur remercier le Diable pour ça. Il maîtrisait le sujet sur le bout des doigts et ne se retrouverait pas à balbutier des inepties devant le géant. Il était au moins rassuré sur un point.
Le bâtard se prépara avec soin, enfilant une tenue qui, il l’espérait, n’allait pas froisser son collègue. Mais il fallait bien l’avouer, les rendez-vous avec Alistair n’étaient pas ses moments favoris. Mais lui, ce costume de couleur tangerine, il le trouvait parfait ! Il récupéra son sac, y fourra toutes les notes qu’il avait faites pour l’occasion, ainsi que des échantillons qui rejoignirent le gloubi-boulga d’autres objets déjà présent à l’intérieur. Puis, il partit direction les bas quartiers, toujours aussi nerveux de l’entretien qui allait suivre, mais un petit sourire vissé à son visage. Après tout Alistair était un peu sa famille.
Même si cet endroit était son terrain de jeu, les combats illégaux n’étaient pas une activité qu’il appréciait … Trop de brutalité … Mais cette brutalité, c’était justement le truc d’Alistair, il le savait. Alors pour aujourd’hui, il allait devoir supporter l’odeur du sang, de la sueur et de la peur. Et il ne savait même pas si ce dernier allait lui faire rencontrer les combattants ou pas. Il espérait que non … Mais il ne pouvait être sûr de rien …
Il arriva au lieu de rendez-vous, à l’heure, comme à son habitude et alla saluer Alistair d’une légère inclinaison du haut de son corps.
« Bien le bonsoir Alistair ! Je suis ravie de te voir en cette belle soirée ! »
Arthur lâcha son énorme sac qui s’écrasa à ses pieds, dans un bruit bizarre, et sourit de manière joyeuse au Chevalier en face de lui. Même nerveux, le bâtard ne pouvait s’empêcher de sourire à tout-va. Et puis comme dit un peu plus tôt, au fond il l’aimait bien ce démon de la destruction.
« Comment vas-tu et comment vont les affaires ! ? »
Arthur avait définitivement trop d'énergie parfois ...
- La tenue de la soirée:
Codage par Libella sur Graphiorum