While your lips are still redLa gourmandise était un pécher, je le savais assez bien. J’ai fréquenté plus d’un démon de ce pécher. Mais là, il glissait doucement vers un autre pêcher, celui de la luxure. En tant que démon élémentaire, alors j’étais autant loin et proches de ces concepts. Alors que ma main venait tendrement s’occuper de ses mèches blondes. Sur lui, ça avait un charme fou. Alors que l’air venait chatouiller ma peau. Je n’avais pas la volonté, ni l’envie de râler sur le fait que la crème fraîche serait collante. Il fallait dire que j’avais de quoi l’oublier vite. Certains me diront que c’est trop vite que j’ai lâché mon souffle. Qu’il s’élevait dans une mélodie. Celle de deux personnes qui s’aiment. Cette mélodie que je voulais entendre le plus possible. Qu’importe si la partition pouvait revenir telle litanie. J’avais l’impression que me lasser de lui serait bien compliqué. Trop sûrement pour n’importe quel esprit de cet univers.
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L’hésitation attachante de cet homme face à ce qui allait suivre ne faisait pas reculer. Tendrement, je venais doucement masser sa mâchoire mise à mal par ce qu’il avait fait. C’était surprenant qu’il soit si doué pour coulisser avec tant de ferveur sur cette partie de son anatomie. Agréablement surprenant. En regard à mes gémissements.
« Je ne serai pas violent. Le désir que j’ai n’a rien de ce genre dans mon esprit. »
Oui, je le désirai. Je ne pourrai pas le nier surtout savoir que j’allais à nouveau me glisser dans ses monts. Mais jamais j’aurai l’envie de le forcer à passer l’acte. Je n’étais pas nymphomane, merci bien. Même si j’avais l’impression de redevenir ce jeune démon en manque qui s’accrochait à ses seuls plaisirs. Après un baiser passionné, il partait. Me laissant seul. L’œil dans le flou. Ce qui me laissais un moment seul. Court certes, mais assez pour rougir un face à ce qui se passait. On allait habiter ensemble. Depuis des siècles, je n’avais laissé personne entrer si longtemps dans ma vie privée.
Je venais doucement lui sourire avant de guider la suite. Vu ce qu’il avait fait pour nous. Je ne vais pas me défiler. Alors pour marquer le commencement, je venais lui prendre un baiser sulfureux alors que mes mains venait se glisser sous son boxer. Car oui, mon objectif était de lui retirer.
Je me stoppais pour reprendre mon souffle alors que le dernier vêtement fut délicatement retiré. Et Avec moins de soin, jeter dans un coin de la pièce. C’était son corps contre le mien et rien d’autre. Il me tarde de le voir sans maquillage. Si ma honte se retrouvais exposée, la sienne finira par être exposée. Mais je ne forcerai pas. Je ne moquerai pas. Car mes sentiments pour lui était aussi doux que le cachemire. Je lui fis un sourire avant de prendre le lubrifiant.
« Je vais utiliser ce que tu as amené alors. Ne t’en fais pas. Si tu sens quelque chose qui te plaît pas. Stoppe-moi. Qu’importe si après ça te semble cruel. Parce que le plaisir, je préfère qu’on le prenne ensemble. »
Oui, c’est niais. Mais pouvais faire autrement alors que toute mon âme hurlait mon amour pour lui. Alors, n’écoutant mon cœur, ma main glissait doucement entre ses vallons. Pour y glisser un doigt. Le regardant, je commençait à bouger doucement, ne pas aller trop loin au début, progresser en doucement, alors que mon autre main venait s’occuper de lui. De mes lèvres venait voyager sur ses oreilles. Ses oreilles percées. Si mes bijoux me faisait ressembler parfois à un voyou ou un pirate. Les siens était plus élégant, mais pas féminin. Uniques. Il n’y avait plus qu’eux.
J’attendais qu’il soit à l’aise pour oser un peu plus avec mon doigt. Puis, je laissais ce dernier faire son chemin dans un rythme à la fois doux et impérieux. Sentant qu’il pouvait passer à la suite. Il laissa un autre doigts rejoindre le premier, puis se stoppa.
« Tout va bien mon amour ? »
Si ceux dans son antre ne bougeait plus, ce n’était pas le cas de cette main qui s’occupait du membre de son amant. Mais il voulait s’assurer que tout allait bien avant d’aller toujours plus loin...
While Your Lips Are Still Red - Pv Arthur [+18 Tw: relation entre hommes]
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Debout devant Thalmos, Arthur n’en menait pas large. Pourtant, il lui faisait confiance. Peut-être même plus qu’à n’importe qui … Mais être dans une tenue si légère le faisait se sentir vulnérable. Et le rouge lui monta à nouveau aux joues lorsque son amant le mit totalement à nu. Il se racla la gorge, pour lui répondre alors que ses yeux ne quittaient pas la bouteille de lubrifiant et la substance visqueuse qu’il répandait sur ses doigts.
« Je te dirai si ça ne va pas, mais je te fais confiance, je n’ai pas peur. Je suis juste stressé. »
D’ailleurs, sans un mot de plus, il monta sur les genoux de Thalmos, leur bas-ventre s’effleurant doucement, laissant ainsi l’accès à son intimité à son amant. Il n’avait pas eu besoin qu’on l’encourage, il avait agi de manière entièrement naturelle.
La sensation du doigt de son amant se glissant en lui le fit se tendre un peu plus, il ne s’y habituait toujours pas. Au tout début, elle n’était vraiment pas agréable. Peut-être est-ce à cause du fait qu’il n’était pas totalement détendu, mais il avait du mal à passer au-dessus de ça. Heureusement, grâce aux caresses habiles de Thalmos sur son érection, Arthur oublia bien vite ce qu’il se passait de l’autre côté. Et grâce à ça, il put commencer à se vider l’esprit de toutes les pensées parasites qui l’empêchaient de profiter du moment. Il se détendait doucement mais sûrement. Ce fut d’ailleurs peut-être un peu plus rapide que la dernière fois.
À califourchon sur les jambes de son amant, il se laissait aller à ses attentions, soupirant dans son cou alors que ce dernier parcourait une de ses oreilles de ses lèvres. Le blond ne pouvait pas mentir il était bien et il se sentait d’ailleurs assez à l’aise. Il glissa une de ses mains entre eux deux et rencontra celle de Thalmos qui était déjà affairé sur lui. Il l’encourageant à caresser leurs deux membres ensemble. Il se colla un peu plus contre le ventre du roux afin de faciliter leurs mouvements et effectuait lui aussi le même mouvement.
Puis, quand ce dernier lui demanda si tout allait bien, Arthur leva un regard fiévreux sur lui, et sourit avant de l’embrasser de manière indécente comme toute réponse. Il était incapable de parler tant il était emporté par les sensations agréables que lui procuraient les mains de son amant. Oui il allait très bien, si bien que de sa virilité s’échappait déjà un peu de liquide.
Son cœur battant la chamade, Arthur finit par arriver à s’exprimer.
« On peut aller plus loin, ça va. J’ai vraiment envie de toi mon amour. »
Le blond embrasse encore une fois son amant, le souffle court à cause du désir. Il allait vraiment falloir qu’il se remette au sport pour avoir une meilleure condition physique. Il était pitoyable d'être déjà aussi essoufflé.- Le boxer:
While your lips are still redMon tendre amant n’était le seul a stressé un peu. Parce que je sais combien c’est parfois complexe de confier à un autre pour laisser prendre le relais dans cette danse si particulière qui s’exercera bientôt n’était jamais simple. Ceux qui prétendaient le contraire se trompait lourdement. Ou ne prenait que peu de plaisir, sans compter sur le frisson de cette union.
- Nsfw:
Rassuré sur le fait qu’il me stopperai si quelque chose le dérangeait, je gardais ce rythme qui montée doucement comme une douce mélodie qui prenait le temps avant de s’emporter dans un rythme plus effréné jusqu’à exploser dans un accord que seul deux instruments pouvaient faire. Ce n’est pas son doigt habile qui allait dire le contraire. Je savais qu’il étais presque prêt, mais son baiser me permit de glisser un deuxième doigt en lui. Faisant ce chemin pour permettre cette suite.
A l’écoute de ces mots, je me stoppais un peu avant de poser mon front contre celui d’Arthur. Il en profita pour m’embrasser, ce que je lui rendais avec tendresse infinie.
« Je suis si heureux de tes mots, si tu savais, mon amour. Non seulement pour ce qui va se passer. Mais aussi pour ce qui ça signifie pour nous. Pour toi. »
Je ne pouvais que sourire face à tout ça. Alors que son corps était paré pour la suite. Je fis en sorte de faire quelques mouvement de mes doigts en lui avant de prendre ce fameux préservatif. Je ne voyais pas l’intérêt de faire comme ça. Mais une expérience était une expérience et en tant que démon du vent. J’avais tendance à me laisser porter par lui. Si le vent me disait de le faire ainsi, je le ferai.
Alors que je retirais mes doigts et protégé de mon intimité. Je venais doucement m’introduire en lui. Prenant bien le temps de garder un main sur son membre pour le détendre. Me stoppant à moitié du chemin pour seulement l’embrasser alors que je finissais ma course pour me stopper une fois entier en lui. Je savais à quel point ça pouvait être douloureux i mal fait. J’espérai être un bon amant. Je reprenais mon souffle, rendait celui de mon amant. Mon regard dans le sien mon œil vert dans ses yeux bleu. Je caressais sa joue avec tendresse.
« Je t’aime, Arthur. »
Les surnom tendres pouvais être mignon, mais dire son prénom m’avait semblé important à ce moment. Sur ce canapé qui serait ruiné.
Arthur se laissait conquérir par son amant. Il aimait ce que ce dernier lui faisait, peut-être même beaucoup trop. Chacune de ses caresses lui retournait la tête à tel point, qu’il n’arrivait vraiment plus à réfléchir de manière construite.
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Quand le membre de Thalmos finit par remplacer ses doigts dans Arthur, ce dernier ne put s’empêcher de se cambrer légèrement. Une sensation de fourmillement s’emparait de son bas-ventre alors que, petit à petit, son amant le possédait entièrement. Le blond s’agrippa au dos du roux alors que son corps se refermait autour de ce dernier, comme si les deux amants allaient rester liés à jamais. Thalmos était en lui et même si ce dernier ne bougeait pas encore, le simple fait de l’avoir blotti au fond de son corps le comblait.
Et, au "je t’aime" de ce dernier, Arthur l’embrassa avant de lui murmurer sa réponse au creux de l’oreille :
« Je t’aime aussi, Thalmos. »
Puis, l’embrassant à nouveau, doucement, il commença à onduler lascivement son bassin sur les cuisses de son amant. Ainsi, il l’encourageait à commencer à bouger lui aussi. Même s’il fallait l’avouer, ça lui plaisait plutôt bien de mener la danse entre eux deux. Le mouvement qu’il créait entre leurs deux corps lui extirpait des soupirs profonds de plaisir. Mais il voulait plus … Toujours plus … Alors que son appréhension n’était pas encore totalement disparue, Arthur commença de lui-même à créer un mouvement de va-et-vient sur le membre de Thalmos. Tout doucement pour commencer, sa respiration se faisant plus forte alors qu’il sentait la dureté de Thalmos le caresser de l’intérieur.
Ses mains et ses jambes tremblaient légèrement mais Arthur continuait à monter et à descendre lentement sur la hampe de son amant. Le fourmillement qu’il avait perçu dans son bas-ventre, au début, ne faisait que s’amplifier, mais ce n’était pas pour lui déplaire. Même avec la plus grande des volontés, le blond avait du mal à accélérer le mouvement, à le rendre encore plus profond. Parce qu’il savait très bien qu’il n’allait plus rien maîtriser après ça. Et que la perte de contrôle n’était vraiment pas son truc.
Malgré sa retenue, Arthur se pencha à l’oreille de son amant et lui murmura :
« Prend-moi plus fort, j’y arrive pas tout seul … »
Il laissa ensuite sa bouche glisser dans le cou de son ami, ses lèvres aspirant sa peau, pour, encore une fois, le marquer aux yeux de tous.
While your lips are still redCe n’était jamais long avant que la passion vienne envahir non seulement son être, mais aussi son amant. Le voir diriger la danse sensuelle avait ce quelque chose que je voulais jamais oublier. Vraiment. Je sais que mon affection est encore juvénile, pourtant, comme si mes siècles d’errance avait fait que je tombe sur lui. Mon amour pour lui s’amplifiait, mais je n’avais pas peur. Car si on pouvait relever d’un obstacle, les autres suivront tels des dominos. Alors qu’il bougeait, menant les premiers mouvement de cette douce mélopée. Arthur avait toujours cette retenue. Une retenue vite remplacée par juste son envie de bien plus.
- Nsfw:
Lâchant un soupir plus que clair à son amant lorsqu’il sentait les lèvres marquer sa présence. Je lui appartenais. Je venais passer une main sur lui. Mon souffle erratique. Mon envie de lui profondément enfoncé en lui. Je le prendrais avec autant de force que la tempête qu’il représente à mes yeux. Une tempête dans laquelle je plonge sans une ombre d’hésitation. Alors que je commence à le posséder plus fort, mes mouvements était empli de cette luxure mais aussi de tendresse. Car depuis le début, il n’avait jamais baisé, comme le disait vulgairement certains. Il faisait l’amour, purement et simplement. Embrassant ses douces lèvres et ses cuisses venant à ma rencontre claquant à rythme plus soutenu, accélérant progressivement notre union. Je ne pouvais qu’être heureux. Heureux de l’avoir. Qu’importe la position.
Le canapé couinait de plus en plus, alors que mes mouvements se faisaient encore plus vifs. Que mes dents venait mordiller son oreille, puis l’autre. Que ma main allait doucement s’activer sur son membre. Je laissais mon corps prendre le relais, mon cerveau était définitivement parti. Trop plongé par ce plaisir qui allait finir par exploser dans cette poche de plastique. Après quelques mouvements erratiques, mais profonds, je laissais ce dernier arriver à son apothéose. Regardant mon partenaire avec un sourire. Je n’avais pas l’envie immédiate de quitter sa chaleur. Je venais l’embrasser et le serrer contre moi. J’espère qu’il était venu à son tour. Dans le cas contraire, je lui donnerai le plaisir manquant de mes mains.
« Tu te débrouilles vraiment bien, mon amour. Je t’aime. M’en fiche si je me répète... »
Je me retirai enfin de son corps, le gardant un maximum contre ma peau. Son odeur remplissant mon nez qui s’était glisser contre lui. Mes yeux sûrement un peu plus fermés, mais pas complètement. Ses cicatrices, mes marques et sa respiration tout me donnait l’envie de recommencer encore et encore. Même si ce corps ne suivra pas cette envie.
« Je ne pouvais pas avoir mieux comme petit ami. »
Nous étions différents, certes, mais ces choses qui pourraient les éloigner m’avait juste soufflé que ma vie sans lui serait difficile. Après la fin de sa vie, je resterai un long moment en enfer pour le pleurer. Je le savais, le sentais au profond de mon être.
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Quand son amant commença lui aussi à bouger tout contre lui, l’esprit d’Arthur vrilla entièrement. Il était transporté par les sensations. Au final, il finissait par se dire qu’il appréciait plutôt bien de se faire prendre. Ou alors, loin d’être réduit seulement à l’acte, c’était peut-être simplement sa place d’être là, avec Thalmos en lui, comme une évidence.
Leur étreinte s’accéléra et se fit plus brusque, alors que leurs instincts avaient pris le dessus sur leurs esprits dans cette danse millénaire. Plus le temps avançait, plus les gémissements d’Arthur se faisait fort, plus ses ondulations étaient pressantes. Les fourmillements qui s’étaient réveillés quelques minutes auparavant s’amplifiaient jusqu’à ce que, dans un dernier mouvement profond de Thalmos, Arthur jouisse entre leurs deux corps. Une fois que les secousses de son orgasme se furent calmées, et qu’il eut un peu repris son souffle, il se lova dans les bras de son amant, ce dernier toujours en lui.
Il resta contre lui, il n’avait pas envie qu’ils se séparent, pas encore.
« Si c’est pour me dire des choses pareilles, répète-toi autant que tu veux. »
Il se redressa un peu, et lui sourit tendrement. Mimant avec ses lèvres un "Je t’aime moi aussi".
Puis, comme toutes les bonnes choses ont une fin, Thalmos se retira. Et Arthur grimaça légèrement. Ce n’était pas sa partie préféré. Le membre de Thalmos avait fait sa place en lui, et alors que ses chairs reprenaient leur place, Arthur sentait déjà son amant lui manquait autant physiquement que mentalement. Mais la fatigue de cette journée éprouvante le rattrapait, et le bâtard se sentait soudain vidé de toute énergie.
« Tu es mon âme-sœur Thalmos, j’en suis convaincu. »
Oui, le blond n’avait plus aucun doute là-dessus. Plus il passait de temps avec cet homme, plus leur couple devenait, pour lui une évidence. Ils étaient faits pour se rencontrer. Ils étaient faits pour vivre ensemble. Quelque chose les avait guidés l’un vers l’autre à travers les siècles pour qu’ils en arrivent là.
Arthur se releva de sur son amant, mais dès qu’il fut en position debout, ses jambes se dérobèrent sous lui et il retomba assis sur le canapé. Il explosa dans un rire cristallin, empli de toute la joie qu’il éprouvait au côté de Thalmos.
« Je crois qu’on y est allé un peu fort. Mes jambes ne répondent plus. »
« Tu me portes jusqu’au lit ? S’il te plaît ? Je suis trop fatigué pour marcher. »
Oui, Arthur en profitait un peu, mais après tout qui serait mécontent de finir dans les bras musclés de Thalmos ? Puis, sans le regarder directement, le blond finit par dire.
« On peut refaire après si tu veux … Si tu peux encore évidemment. J’ai envie de te sentir à nouveau en moi. »
While your lips are still redJe souriais face à ces actions. Fier de ce qu’il est devenu suite à notre union. Je passais une main sur lui. Avec une tendresse infinie. Je pouvais pas être plus heureux, surtout quand son amant venait à lui dire ce qu’il avait tant pensé. Que leur rencontre était comme une évidence. Clairement, il resterai des années en enfer après sa disparation.Seulement, je n’avais pas envie d’y penser. Parce qu’il était là. Je laisse ces larmes à mon possible futur.
« Je ne m’excuserai pas pour ce qu’on a fait ensemble. Par contre, je te porte sans souci. »
Bon, il y a plus musclé que moi. Mais le porter me semble pas quelque chose de si contraignant. C’est même l’inverse. Le tenir de cette façon ne faisait qu’empirer mon cas. Celui de mon état d’amoureux transi.
Je venais placer mes bras pour le porter au mieux pour pas lui faire du mal. Je venais embrasser son cou alors qu’il venait à nouveau me demander une nouvelle danse. Je le serrai contre moi avec un sourire.
« Comme si je pourrai refuser une telle proposition ? On fera tout ce que tu souhaites dans ton lit, mon amour. Notre lit… »
- Parce que nsfw:
Maintenant que j’allais vivre dans ce lieu, je devrai m’habituer de considérer certaines choses qui lui appartenait comme plus commune. Une part pourrait crier, mais je la ferai taire. Parce que je n’avais aucune envie de pas en faire de même avec des choses m’appartenant. Vraiment rien que l’imaginer avec certaines de mes vestes… Comme si l’avoir contre moi ne suffisait pas pour réveiller certaines parties de mon anatomie. Mon imagination ajoutait qu’une couche.
« Je peux encore, Arthur, ne t’en fais pas. »
Alors que je venais le poser sur le lit, après une marche une peu chaloupée. Je venais doucement mettre juste au-dessus de lui. Mon état ne laissais aucune place au doute face aux envies qui me parcouraient. Je me tenais ainsi un moment. Juste pour le regarder de tout mon saoul. Son regard teinté de la luxure, de son amour et d’autres choses que j’ignore encore. Rien ne me ferait reculer. Rien. Car j’avais tout à gagner.
C’est ainsi que mes lèvres vinrent parcourir son corps, comme une gourmandise. Ce qu’il était bien malgré lui. D’abord son cou où j’y laissais une trace rouge de mon passage. Puis son épaule gauche et droite, descendant sur son torse pour jouer avec ses tétons. Oui, je savais que c’était sûrement une torture pour mon amant. Mais j(‘avais ce besoin. Celui de marquer chaque part de lui dans le plus profond de ma mémoire. Je descendit un moment, puis me stoppais pour le regarder.
« Dois-je prévoir une autre protection mon amour ? »
Parce que là, j’avais bien envie de le re-posséder. Mais autant faire les choses bien. Pour lui. Pour nous deux. C’était toujours mieux si on était d’accord. C’était meilleur ainsi.
- NSFW:
Même s'il n'était pas la personne la plus à l'aise, ainsi nu contre Thalmos qui le portait vaillamment jusqu'à leur lit, Arthur ne pouvait s'empêcher de se demander comment il avait fait pour survivre sans son amoureux. Tout était à sa place. Et même si, à cause de leur dispute, il avait eu très peur que tout s'arrête, une partie de lui, lui disait qu'ils allaient passer le reste de leurs jours ensemble tous les deux. Et rien ne pouvait le rendre plus heureux.
Le rouquin finit pas le déposer sur le lit et se mit au-dessus de lui. Lui garantissant qu'il pouvait recommencer. Voilà une bonne chose qui tira un petit sourire au blond. Alors que son amant le parcourait de ses lèvres, ce sont les mains d'Arthur qui le caressaient à lui, dessinant chaque muscle de son dos, descendant le long de sa colonne vertébrale. Il aurait aimé atteindre ses fesses pour les peloter comme elles le méritaient mais elles étaient trop loin de ses mains et la bouche de Thalmos sur ses tétons l'empêchait de coordonner ses mouvements comme il le voulait.
« J'aurais peut-être dû prendre une douche pour la séance de bisou … J'ai du sperme plein le ventre. »
Et ça le gênait un peu de se savoir si collant. Même si c'était la preuve de son désir assouvi, il n'avait pas très envie d'en mettre partout sur son amant. Quoique, en y réfléchissant ce dernier devait lui aussi en avoir sur lui. Le blond glissa une de ses mains contre le ventre de Thalmos et rencontra effectivement la substance visqueuse qu'il avait libérée un peu plus tôt.
Sa trouva ensuite toute seule son chemin, et il en profita pour caresser doucement le membre déjà prêt pour le second round de son amant. Et il lui répondit le souffle un peu court.
« Oui s'il te plaît, j'aime pas quand sa coule une fois qu'on a fini. »
Ses joues se teintèrent de rouge alors qu'il disait ça. Comme s'il pouvait être encore gêné de parler de ça avec le rouquin après tout ce qu'il avait fait tous les deux.
« Dans la table de nuit il y a ce qu'il faut. »
Alors qu'il attendait que ce dernier se prépare, il le dévorait des yeux. Thalmos était vraiment l'être le plus beau qui lui aie été donné de côtoyer. Tout en lui, lui plaisait, même cet œil mort que son amoureux avait du mal à supporter, lui il le trouvait magnifique. Alors qu'il détaillait encore et encore chaque parcelle de peau du roux, Arthur commença à se caresser pour finir de réveiller sa virilité qui somnolait encore un peu. La bouche de Thalmos sur son corps l'avait ranimé, mais elle n'était pas encore aussi raide que celle de son amant.
« Fais-moi ce qu'il te plaît … Tu peux y aller comme tu veux tant que tu retournes rapidement en moi. Tu me manques déjà. Profitons de notre première nuit dans notre appartement, dans son lit. »
While your lips are still redRien au monde ne pouvait me détacher de l’océan qui me regardait avec ferveur. Venant m’attirer dans les profondeurs de ces eaux presque insondables. J’étais le seul à le voir ainsi, et j’en suis de plus heureux. Si c’est ça les abîmes de l’enfer, je m’y plonge avec délice.
Je venais caresser doucement sa joue. Qu’il s’inquiète pour moi était vraiment touchant. Une douche aurait pu être possible. Mais pas certain d’avoir pu le faire après coup. Parce que mon envie de lui était au plus haut. Sans vouloir cesser de monter dans mon être. Je décollais mes lèvres de son torse pour lui voler un autre baiser. Bref, pourtant teinté de ses sentiments pour lui.
« On se lavera plus tard. Laisse-moi honorer ce lit. »
Car oui, ce lit serait le leur. Le mien autant que le sien. Le fait que les corps restent déliés par nos actions précédentes, c’était quelque chose avec laquelle je devrais m’y faire. Autant que mon cœur qui battait si fort qui pourrait faire un bon rythme pour une musique électro. Et l’électro n’était pas mon genre.
« Tu avais décidément tout prévu, mon amour... »
- Nsfw les bebous:
Les protections étaient une sécurité certes importante, mais elles étaient là aussi pour éviter certaines choses un peu plus gênantes. Alors que je faisais en sorte d’être paré pour une nouvelle danse. Danse millénaire entre deux êtres s’aimant. Alors que j’étais déjà paré, il n’en était pas de même de mon amant. Les caresses sur lui était un spectacle dont je ne pourrais pas me lasser. Alors, je le laissais faire, l’observant avec une envie dévorante. Il a sûrement remarqué cette dernière. Il fallait être aveugle pour ne pas la voir. Vraiment.
« Ce qui me plaît ? Ce qui me plaît, tu le sais. C'est que nous prenions tous les deux plaisir à cette union... »
Alors n’écoutant que ce qui lui passait par la tête. Il mit sa main sur ce membre pour faire de lentes caresses calculées. Si je lui manquais. Il me retrouva assez tôt profondément en lui. Alors que mes caresses ne cessaient pas, je me retrouvais assez proche de son entrée. Oh, notre union précédente aiderait pourtant. Avec prudence, il fallait y aller en douceur. Le préparer était aussi quelque chose avec laquelle je jouais sans honte. Plus amusante que tous les mouvements de la bourse. J’oubliais tout sauf lui lors de nos moments à deux. Je ne pouvais que vivre pour ces instants que je savais fugaces.
Alors après quelques gestes savamment pensés, je me retrouve à nouveau en lui. Mon souffle rendu court par tout ce qui déferlait dans mon esprit. Mon amour pour lui, son corps si proche du mien et cet être que je ne voulais pas lâcher.
« Notre lit... »
Savoir que je vivrai de plus en plus, ici, à ses côtés, me réveiller à ses côtés me rendait profondément heureux. Et même si je ne le retrouverai peut-être pas. Avoir un petit mot à mon intention me ferait plaisir. Je le mettrai en place si une fois, je devrais le laisser pour retourner au travail et qu’il dormait. Alors ma joie me faisait picorer ses lèvres alors que mon corps se mit à onduler en lui. Doucement. Transmettant toute mon allégresse du moment. Une allégresse qui m’accompagnera même après le coït. Parce que je l’avais comme il m’avait. Nos cœurs en otage.